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MoNiA
06/10/2006 16:54
ENCOR UNE AMI DE CLASSE DU T C ELLE GENTILLE ELLE ET CA COPINE ZAHRA ALADALLA J'AI ENCOR UNE TOF D'LLLE MAIS BIENTT ALORS MONIA BONNE CHANCE SUR TES ETUDES JE C QUE TU ES KARAKA LOL
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MeRY
06/10/2006 16:58
NARI HAD SATA RIEN A DIRE DOMMAGE MAKINACHE M3AHA EBTISSAME MAIS RAHE WAHADE JOUJE KHATARE éWA LES AMIS DYALE LMA CLASSE DIMA 3ZAZE O BZAFFFE
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FaDwA
06/10/2006 17:09
maskian a laissé ses enfants bjouuuuuuu3 watinoudi baraka mn tfkir safi darbi dania brakla alor je tm baby bonne chance bisouuuuuuuuuuuuuuuuuuou alah ikhalik lina a condition tkouni dima dahka / LOL : C FADWA DRAYFA DYALNA
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AdOLF HITLER
06/10/2006 18:48
Hitler est né en Autriche à Braunau sur l'Inn, une ville proche de la frontière allemande, il considéra le lieu de sa naissance comme «un arrêt bienheureux du destin», naître dans une petite ville-frontière fit surgir en lui l'idée d'une «grande mission» : réunir l'Allemagne et l'Autriche. Dans Mein Kampf on retrouve cet idéal hitlérien lorsque le dictateur dit «les hommes d'un même sang doivent appartenir au même Reich». Orphelin de père (un douanier, Aloïs Hitler) dès 1903, le jeune Adolf alors élève de la Realschule de Linz (où il suivit les cours d'histoire du docteur Poetsch, pangermaniste et antisémite, violemment hostile aux Habsbourg); ses résultats sont médiocres et il abandonnera ses études en 1907 sans avoir obtenu le baccalauréat, il a 18 ans. Hitler rêve de devenir architecte et part en 1905 pour Vienne ; il se présenta au concours d'entrée de l'Académie des beaux-arts, section peinture (sans baccalauréat la section architecture ne lui est pas accessible) mais échoua par deux fois en 1907 puis en 1908. En plus de sa profonde déception, Adolf reçoit une bien mauvaise nouvelle : sa mère, Klara, vient de mourir. Il décida de se fixer à Vienne et mena de février 1908 à mai 1913 une existence difficile, subsistant par la vente de ses peintures. C'est à Vienne qu'Hitler ébauche ses premières pensées politiques ; devant lui s'offre le spectacle de la monarchie austro-hongroise décadente, de la puissance de la finance juive ; Hitler se convertit au pangermanisme, à l'antisémitisme et à l'antiparlementarisme (Hitler est choqué :au Reichsrat tous les députés ne parlent même pas allemand). Hitler se donne les moyens d'organiser sa pensée politique en lisant beaucoup, en autodidacte il étudie Darwin, Schopenhauer, Nietzsche, Gustave Le Bon, Mac Dougall ; nous savons de quelle manière il déformera les théories de ces auteurs. En 1912, Hitler part s'installer à Munich, après 14 mois de séjour il apprend la déclaration de guerre de l'Allemagne à la Russie, le 1er août 1914, et accueille la nouvelle avec enthousiasme. Il s'engage alors comme volontaire dans l'armée bavaroise, précédemment il avait été réformé par les autorités autrichiennes comme «trop faible: inapte », mais l'armée allemande avait besoin d'autant de combattants que possible. Le caporal Hitler, gazé et par deux fois blessé, se distingua pendant la guerre et reçu la Croix-de-fer de 1ère classe, une distinction rare pour un simple caporal. Il sort de l'hôpital fin novembre 1918 pour regagner Munich. Hitler reçu l'armistice comme étant « un coup de poignard dans le dos » dont les traîtres sociaux-démocrates étaient responsables ; c'est ce qui le décida à s'engager dans l'action politique. Hitler, qui est resté militaire jusqu'en mars 1920, a attiré l'attention de ses officiers supérieurs qui font de lui un «homme de confiance», il sera chargé d'éducation, de propagande et d'information. C'est sans doute là la chance de sa vie. La Reichswehr (l'armée allemande) le chargea de la propagande auprès d'un régiment dans la ville de Munich alors théâtre d'une « révolution communiste ». Mais le vrai commencement de « sa destinée » a lieu le 12 septembre 1919 lorsqu'il prend contact, sur l'ordre de ses supérieurs, avec un groupe nationaliste d'extrême droite munichois, le Parti ouvrier allemand, qui ne compte alors que quelques dizaines de membres. Hitler va rapidement prendre en main ce groupuscule et en devenir le Führer. Il renommera ce groupement, à partir de février 1920, le Parti national-socialiste des travailleurs allemands. Le Parti est encadré par des hommes comme Goering, Röhm, Hess, Rosenberg et par une formation paramilitaire les SA, crée en 1921. A la veille des événements de novembre 1923 le NSDAP compte près de 56'000 membres... Suite à l'échec de son putsch, Hitler fut condamné à 5 ans de prison, il ne purgera que 13 mois de sa peine. Il mit à profit ce laps de temps pour écrire Mein Kampf. En 1925, il reconstitua son Parti, créa les SS et les Jeunesses hitlériennes. La conquête, légale cette fois, du pouvoir était désormais son objectif. Son ascension fut assurée par la crise de 1929 qui poussa une foule d'individus vers les partis extrémistes. Aux élections de 1930 le NSDAP comptait107 députés et aux élections de juillet 1932 : 230. Au-delà de la sympathie populaire, Hitler séduit une partie importante de l'armée ainsi que les milieux économiques, inquiets de la menace communiste. En 1932, le maréchal Hindenburg remporte les élections mais doit faire appel à celui qu'il avait jadis nommé le « caporal bohémien » comme chancelier à la suite d'une médiocre intrigue de palais menée par le rusé von Papen (30 janvier 1933). Mais ce n'e n'est que le début pour Hitler ; moins de 2 mois plus tard il se fera accorder par le Reichstag les pleins pouvoirs pour quatre ans... En février 1933 le Reichstag est incendié (c'est un militant communiste qui sera accusé, à tort), Hitler en profite pour suspendre les libertés fondamentales, pour dissoudre le Parti communiste et les syndicats (mai 1933). Dès 1933 les premiers camps de concentration font leur apparition : Dachau, Buchenwald ; en avril de la même année la Gestapo est mise en place. Röhm et des dizaines de ses lieutenants sont éliminés en juin 1934 lors de la Nuit des longs couteaux pour satisfaire l'armée. Les premières lois raciales sont promulguées en septembre 1935. Le 2 août 1934 le vieux maréchal meurt et Hitler se proclame chef de l'État et chancelier. L'armée prête serment «d'obéissance inconditionnelle au Führer du Reich et du peuple allemand, Adolf Hitler, chef suprême des forces armées». Il fut ensuite plébiscité par 88% des voix comme chancelier et président du Reich. Hitler était devenu officiellement le Führer du peuple allemand, il allait imposer l'Ordre nouveau supplée par des fidèles comme Goebbels à la propagande. En mars 1936 Hitler organisa la remilitarisation de la Rhénanie, il avouera plus tard son coup de bluff face aux occidentaux: «J'étais obligé de mentir et je fus sauvé par mon inébranlable obstination et un aplomb surprenant. J'ai menacé, si une détente n'intervenait pas immédiatement, d'envoyer six autres divisions en Rhénanie. En vérité, je n'avais plus que quatre brigades.». En mars 1938 l'Anschluss (l'annexion de l'Autriche) et l'annexion des Sudètes en septembre puis celle de la Bohême-Moravie en mars 1939. En 1938 la crise économique avait été résorbée par le régime, une crise effacée grâce au réarmement, aux grands travaux, à l'autarcie. L'attachement populaire au Führer était considérable et fort de sa puissance Hitler provoqua la seconde guerre mondiale en envahissant la Pologne en septembre 1939. Les victoires alliées commencèrent dès 1942, Hitler paniqua-t-il ? en tout cas il multiplia les erreurs stratégiques (comme à Stalingrad entre septembre 1942 et février 1943). Mais Hitler ne renonça pas, il s'attira pourtant l'inimitié des officiers supérieurs qui organisèrent l'attentat manqué du colonel von Stauffenberg le 20 juillet 1944 et qui impliqua une répression féroce. Réfugié dans son bunker sous la chancellerie de Berlin, entouré de ses derniers
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ChE GuEvaRa
06/10/2006 18:54
HASTA LA VICTORIA SIEMPRE EL CHE VIVE
Ernesto Guevara de la Serna est né le 14 juin 1928 en Argentine. Ce petit-fils d'un chercheur d'or en californie et descendant du vice-roi du Mexique est celui que l'Histoire retiendra comme "el Che".
Ernesto décide, au début de l'année 1947, de devenir médecin. Même si l'université qu'il préfère est la rue ou les champs où travaillent les paysant, il monte à Buenos Aires poursuivre ses études. Bientôt, l'occasion lui est donnée de découvrir la pratique sur le terrain. Alberto Granado, frais diplomé de médecine, à qui le lie maintenant une réelle amitié, lui propose de le rejoindre pendant ses vacances à la léproserie où il travaille, à San Francisco del Chanar, dans la cordillère. L'été 1948, Ernesto bricole un moteur sur son vélo et part rejoindre son ami, à quelques 800 km de la capitale. Un premier voyage qui sonne rétrospectivement comme un prélude.
Sur les chemins de la maturité
À 23 ans, Ernesto s'embarque pour un projet plus ambitieux avec Alberto Granado: un voyage de sept mois et de près de 10 000 km en Amérique Latine. Au vrai, les deux amis se sont longtemps interrogés sur leur destination. Ils ont d'abord pensé à la vieille Europe, dont la culture les fascine. Mais les grandes civilisations précolombiennes attirent aussi Ernesto comme un aimant, comme la source et le fondoment de sa propre culture.
Le 29 décembre 1951, les compères partent de Cordoba, au centre de l'Argentine, sur la Poderosa II (la "Vigoureuse"). Ce voyage à travers le cône sud-américain prend avec le recul une valeur symbolique: il a lieu exactement au moment où s'éteignent les révolutions dites traditionnelles, commencées en 1819, et où sont sur le point d'allumer celles initiées par Fidel Castro. Ernesto tient un journal qu'il publiera sous le titre Notas de viaje, dans lequel il consigne ses observations sur les indiens, les paysans et les ouvriers opprimés.
La première rencontre entre Fidel et le Che dure toute une nuit et scelle le destin du Che. Les deux hommes partagent le même rêve : libérer leurs pays de l'impérialisme nord-américain. Fidel fait part au Che de son projet de débarquement à Cuba avec un groupe de combattants, pour renverser le régime de Batista. Guevara est fasciné par la forte personnalité de Castro. Celui-ci est séduit par l'intelligence du jeune Argentin. Sceptique au départ, le Che accepte de participer à la folle expédition, comme médecin. La petite troupe s'entraîne au Mexique. Fidel Castro achète un yacht de 12 m, le "Granma", et prévoit de partir avant la fin de l'année 1956. Le 25 novembre, 82 hommes embarquent sur le bateau, conçu pour en transporter 25. La traversée est terrible: la tempête secoue le "Granma", les vivres sont insuffisants. Les guérilleros de Fidel finissent par s'échouer le 2 décembre 1956, deux jours plus tard que prévu, dans un marécage de l'Est de Cuba, à quelques kilomètres de l'endroit prévu. Le Che entame alors sa carrière de guérillero.
Face aux 35.000 soldats de Batista, la stratégie consiste à prendre pied dans les profondeurs du pays, mobiliser les masses paysannes, créer une dynamique insurrectionnelle, et, au final, se saisir du pouvoir. Après une pénible traversée, les guérilleros débarquent le 2 décembre.
Trois jours plus tard, un premier accrochage avec l'armée du dictateur décime presque entièrement le groupe. Le Che est grièvement blessé. La vingtaine de survivants se regroupe dans la Sierra Maestra, une région montagneuse du sud de l'île.
Le 17 janvier 57, l'attaque de la caserne navale de La Plata constitue une première victoire. La population locale commence à sympathiser avec les insurgés. Le Che est vite le second responsable du commando d'hommes qui entra dans la Sierra Maestra (région du sud de Cuba) aux cotés de Fidel Castro. L'homme prend goût à ce combat qui représente pour lui une première ouverture vers la libération de l'Amérique latine face à la tutelle américaine. Rendue inaccessible aux forces gouvernementales, la Sierra Maestra entre progressivement en dissidence. Alarmé, Batista lance une vaste offensive militaire et une prime de 4 000 dollars est offerte pour la tête du Che. Disposant désormais d'une position inexpugnable et appuyés par la population locale, les rebelles décident de quitter la Sierra et de partir à la conquête du territoire cubain. Deux colonnes armées se dirigent vers la Havane. En décembre, l'armée de Batista est définitivement battue. Le premier janvier 59, la Havane est prise. Le lendemain, Santiago tombe à son tour. Cuba change de régime. Le nouveau Conseil des ministres déclare le Che citoyen cubain. Le Che occupe par la suite les rôles de président de la Banque nationale de Cuba en 1960 et de ministre de l'industrie en 1961.
L'orientation communiste qui se définie de plus en plus dans le pays, est en quelque sorte l'oeuvre de l'Argentin. Castro en est le porte-parole. Toutefois, le 3 octobre 1965, surprise... Le Che abandonne ses fonctions dans une lettre d'adieu au peuple cubain. Homme d'action, il explique que « sa tâche révolutionnaire est terminée » et qu'il part « lutter sur d'autres fronts », désirant instaurer le socialisme dans le monde. Puis sa disparition après cette annonce est un mystère. Des rumeurs circulent voulant qu'on l'ait aperçu ici et là aux quatre coins du globe. Les médias prétendent à six reprises qu' Ernesto Che Guevara est mort. On apprendra longtemps plus tard que clandestinement il avait tenté de renverser le président Mobutu établit au Zaïre. Ce plan échouant, il retourne en Amérique Latine et organise la guérilla en Bolivie.
Bolivie : La fin du voyage, le début d’un mythe
3 novembre 66 : le Che franchit la frontière bolivienne, et rejoint la forêt vierge de Nancahuasu, tout près du Paraguay. Objectif : ouvrir un nouveau foyer révolutionnaire en Amérique latine, pour ainsi "créer deux, trois, de nombreux Viêt Nam..".
Dans le maquis, l'attendent des guérilleros cubains, boliviens, péruviens... Quelques dizaines d'hommes. Beaucoup moins que prévu. Le parti communiste bolivien, censé soutenir le mouvement, y a renoncé sur ordre de Moscou. Dans un contexte de détente est-ouest, les Soviétiques ne souhaitent pas déstabiliser le sous-continent américain. Ils ont mis leur veto à l'opération. Les renforts attendus ne viendront pas.
Autre coup dur : les autorités boliviennes, alertées par la CIA, ont déjà entamé la traque. Localisés, les guérilleros abandonnent leur base au printemps 67 et démarrent les opérations militaires bien avant la date prévue.
Onze mois durant, la poignée de rebelles parcoure la montagne. À leurs trousses, 4 000 soldats entraînés et équipés par les Américains. Succès, défaites... la progression se révèle de plus en plus difficile. Les hommes meurent, l'asthme tenaille le Che. Plus grave : la population, censée rallier progressivement le mouvement, se montre indifférente, voire hostile.
Les mois passent, l'espoir s'éloigne. À l'automne 67, Guevara sait que la lutte est sans issue. Il ne reste à ses côtés qu'une vingtaine d'hommes épuisés et découragés.
Engagés dans la Quebrada del Churo, une vallée étroite et encaissée située à 200 kilomètres au sud-ouest de Santa-Cruz, la colonne est bloquée, le 8 octobre au matin, par plus de 300 rangers. La lutte s'engage, inégale. À treize heures, deux guérilleros sont capturés. L'un d'eux s'assoit par terre. Il est blessé et désarmé.
"Je suis Che Guevara. Ne vous inquiétez pas. Tout est terminé."
Volontaire pour exécuter le Che, le sous-officier Mario Teran pénètre dans la salle de classe tenant lieu de cellule. Il est ivre et visiblement effrayé. Le Che l'apostrophe : Tire poltron, c'est un homme que tu vas tuer ! Par deux fois Teran fait feu, le Che s'effondre les yeux grand ouverts.
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